Molt sui fos quant je man despoir v. 1434-1442 retrait du merveilleux laisse une place nouvelle à laction et à Il me semble intéressant de partir de la chanson de geste afin de mieux appréhender, par la comparaison des deux genres, les innovations apportées au roman par Chrétien de Troyes en matière de versification. cest à dire des êtres imaginaires que lon ne peut pas rencontrer dans la a dû aussi buter contre la collision violente du tragique et du comique Quoi quil en soit, le verdict énoncé par la messagère est sans appel : Il fut composé sans doute en 1175. Il a un peu plus de 6800 vers v. 519. Je pense que droit signifie ici que la lance a été dégagée de son support sur la selle et quelle est tenue bien droite, cest-à-dire horizontalement. Antonyme : mot qui soppose par son sens à un autre. Par exemple, chaud et froid sont des antonymes.-Je garde celles-ci et men fais obéir si bien que jamais elles ne sortiront Mais la quête du sens nest pas chose aisée, nous lavons vu dernièrement à propos du dénouement. A la différence dune épopée, ce roman na pas de sens tout fait M. Rousse, op cit. P 36. Il faut donc être prudent en la matière car le roman, fait déléments divers, ne livre en effet aucun sens qui doive simposer naturellement. Le propre des chefs-dœuvre, du reste, nest-il pas de toujours susciter des interrogations, par delà les époques? À la cour dArthur, personne ne sait où se trouve Yvain. Le roi qui avait entendu Calogrenant vanter la merveille de la fontaine décide de sy rendre avec toute sa suite, le roi vint voir la merveillede la fontaine et du perron v 2174-2175. Arrivé sur les lieux, Arthur verse un plein bassin deau sur le perron ce qui déclenche les foudres du ciel. Aussitôt, surgit le chevalier en armes. Aucun ne reconnaît Yvain sous son armure ; lui seul sait à qui il a affaire.. On est au mois de mai de lannée de sixième. Après une lecture de lensemble du chapitre et une étude plus détaillée de lextrait constitué par les quatre derniers paragraphes, lenseignante a demandé, comme écrit de synthèse de la séance, décrire la liste des étapes du chapitre. Ceci se traduit pour Kelyan par la présence dune sorte de matrice graphique de liste, avec un titre souligné et des tirets, en attente de titres détape. Le lien entre lobjet de la consigne, Les étapes, et le travail demandé, semble rester opaque pour Kelyan et ne lui permet pas daller au-delà du titre et de la première étape, qui en loccurrence nest pas celle du chapitre mais celle du passage plus particulièrement étudié pendant cette séance. On peut faire lhypothèse que la notion détape, en tant que celle-ci constitue un nœud dans un processus dynamique de transformation et ne se réduit pas à un moment dans une chronologie, est pour linstant trop complexe à appréhender pour cet élève. Son prisonnier.-Vous le serez, par cette main que je tiens. Maintenant d Aucassin et Nicolette, éd. Et trad J. Dufournet, Paris, lui avait dit : que ce quil avait vu, lorsque ceux qui voulaient le tuer tension interne ou externe entre plusieurs motifs ou séquences narratives, À Dieu ne plaise, répondit Yvain, que lon vous fasse du mal à cause de moi. Vous ne mourrez pas, je men fais fort! Demain, vous pourrez mattendre, prêt, autant que je pourrai, à risquer ma vie pour vous délivrer : cest pour moi un devoir. Mais nallez pas raconter ou révéler qui je suis! Quelle que soit lissue de la bataille, veillez à ce quon ne my reconnaisse pas. La guérison dYvain dans le Chevalier au lion : lépiphanie du fin chevalier. Étude littéraire des vers 2829 à 3023 accepte le départ de son bien-aimé à la condition quil revienne au château une fois lannée.